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Origine du stress au travail

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Utopia

L\’urgence du temps :

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Plus votre note est élevée, plus vous êtes dans l’urgence du temps.
Or, comme dans la réalité tout temps ne peut pas être productif, le moindre contre-temps devient stressant.
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Le perfectionniste :

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Plus vous avez une note élevée, plus vous êtes perfectionniste.
Or, la réalité n’est jamais parfaite et il y a toujours un décalage entre ce que vous voudriez et ce que vous avez.
Ce décalage accentue vos tensions.
C’est alors une lutte épuisante qui par ailleurs peut complètement désorganiser le travail, la vie privée, par l’obsession du détail.
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La confusion entre valeur personnelle et performance :

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Plus votre note est élevée, plus vous mélangez vos valeurs personnelles (qui sont stables dans le temps) avec le résultat de vos performances (qui sont nécessairement inégales).
Cette confusion est stressante car soumise aux aléas normaux de la vie, vous les vivez comme un échec personnel.
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L\’hyper contrôle :

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Plus votre note est élevée plus vous avez dans l’idée que tout doit être contrôlé.
Le sujet en position d’hyper-contrôle a l’illusion de toute puissance.
Cela le fragilise parce qu’il est trop sûr de lui, parce qu’il va avoir tendance à éviter le changement qu’il maîtrise difficilement.
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L\’absence de limite, ne pas savoir dire non :

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Plus votre note est élevée, plus vous avez en tête que vous n’avez pas de limites ou que vous ne devez pas en avoir.
Or, comme en réalité vous avez des limites, vous avez toujours le sentiment de ne pas en faire assez.
Plus j’en ferai sans montrer mes limites, plus on m’en donnera (ou je m’en donnerai).
C’est ainsi qu’on va vers la déprime par une surcharge qui devient vite écrasante.
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Cochez si, pour vous, c’est vrai :

Pour réaliser une tâche, il est indispensable d’en comprendre parfaitement les tenants et les aboutissants.
Si je ne suis pas sûr de réaliser parfaitement ce que j’ai à faire, je préfère renoncer.
Je dois réussir tout ce que je fais, sinon cela signifie que je ne suis pas bon.
Mes performances reflètent parfaitement ma valeur personnelle.
Je me débrouille toujours pour faire tout le travail que l’on me donne.
Le temps passé à améliorer la qualité d’un travail n’est jamais perdu.
Je ne suis pas du genre à refuser du travail, même si je suis déjà bien occupé.
Le travail prime sur mon temps de loisir.
Je doute facilement de moi lorsque je rate quelque chose.
Je dois être capable de faire plusieurs choses à la fois.
Ceux qui disent ne pas pouvoir faire ce qu’on leur demande, ne font pas d’efforts suffisants.
Je mets un point d’honneur à ce que ma part personnelle d’un travail collectif soit irréprochable
J’ai l’impression que les autres remettent ma valeur en cause lorsque j’ai réalisé une contre performance.
J’ai besoin d’être tenu informé dans les moindres détails de ce que font mes collaborateurs.
24 heures, ce n’est jamais assez dans une journée.
Être inactif veut dire être inutile.
J’ai du mal à supporter ce que je n’ai pas pu prévoir.
Toute activité doit servir à quelque chose, sinon c’est du temps de perdu.
Je n’aime pas devoir aller vite et rendre un travail imparfait.
Quand je n’ai pas prise sur l’ensemble des paramètres qui constituent mon travail, je suis mal à l’aise.




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